Jan 272016
 

En l’absence d’un des distributeurs, nous saluons la présence de William et de Max. La taille de ce dernier sera bien utile pour contrer les deux grands pivots de l’équipe adverse.

Un “3 points” d’entrée de jeu, rien de tel pour le moral.

Défense agressive (dans le bon sens du terme), passes rapides donnant de nombreuses possibilités de shoots malheureusement non réussis : 8 – 5 après 5’.

Une interception de Max est ponctuée par un magnifique “dunk”. Le score passe de 13 à 14 après 7’30” pour finir à 23 – 14 à la fin du 1er QT.

Le début du 2ème QT donne la possibilité au coach de substitution (en l’absence du titulaire) de faire tourner son banc dans de multiples combinaisons qui paraissent lui réussir. L’équipe semble avoir pris conscience de l’importance de passes (rapides) plutôt que de dribbler de façon stérile. Une petite baisse de régime laisse revenir les adversaires  de 29 – 20 après 4’30” à 29 – 26, la cause essentielle étant une défense plus que passive.

L’équipe fait montre de laxisme tant en défense qu’en attaque : la mi-temps se solde par  36 à 41.

Dès l’entame du 3ème QT, on sent que les Collégiens en veulent : 42 – 43 après 2’ , 49 – 46 après 4’30”. Ce QT donne à nos joueurs une avance de 7 points, soit 63 – 56.

Le 4ème QT voit le score évoluer de 69 – 62 après 2’47” à 75 – 66 après 7’ d’un jeu “sans commentaire” car étant soporifique. L’un ou l’autre joueur pense que “tirer à la mitraillette” provoquera la décision finale. C’est tout le contraire qui se déroule : 77 – 73 à 1’05” du terme, 77 – 75 suite à une stupide perte de balle. Les adversaires provoquent de nombreuses fautes avec l’objectif de récupérer le ballon : 80 – 77 à 13”1’” ce qui constituera le résultat définitif.

Ce match-ci a encore démontré un manque de maturité de certains joueurs dans les moments où le doute s’installe. Plutôt que de “tirer” à tort et à travers, penser à construire un jeu d’équipe serait plus profitable et productif. Rappelons que le basket se joue à 5, et même plus avec le support et les encouragements de ceux qui ne sont pas sur le terrain.

On peut cependant noter une certaine évolution par rapport aux matchs-aller, les victoires étant là pour le confirmer. Créer la surprise contre l’un ou l’autre ténor de la série sera l’un des objectifs majeurs : nos joueurs en sont capables.

R.L.

Sep 272015
 

Premier 1/4 : on sent manifestement que les joueurs “se cherchent” encore : résultat : menés 16 à 7

Deuxième 1/4 : après un début que l’on pourrait qualifier de “catastrophique”, l’équipe termine en “boulet de canon” pour revenir à égalité, soit 28 – 28 ; on se rend compte que le physique des adversaires s’est quelque peu émoussé

Troisième 1/4 : débute par un jeu chatoyant tout en profitant de la maladresse relative de l’adversaire : 30 à 39
à 5 minutes du terme; par après, ont su mettre à profit leur condition physique couplée avec une réussite au shoot tous azimuts, ce qui porte le score à 38 à 52

Quatrième 1/4 : comme d’habitude, une période de flottement qui redonne confiance aux adversaires, lesquels reviennent à 45 – 56 à 5 minutes du terme; le manque d’expérience se fait sentir : l’un ou l’autre pense qu’il peut “casser” le match à lui tout seul, on shoote trop vite et le score est de 52 à 58.
Après un rappel à l’ordre du coatch, nos joueurs parviennent à mieux gérer leurs émotions
pour l’emporter finalement par 54 à 60

Quelques enseignements à retenir :

– un match ne se gagne pas tout seul
– une bonne défense, et ce de façon plus constante, donnera plus de chance pour la victoire
– en cas d’infériorité au rebond offensif, il doit toujours y avoir au moins un joueur en défense
en vue d’éviter une contre-attaque trop facile, laquelle donne souvent un panier trop facile
– un peu plus de rapidité dans la fluidité des phases apportera des espaces propices à marquer
des paniers
– le monde ne se fait pas en un jour : des progrès, tant individuels que collectifs, apparaissent
au fur et à mesure des rencontres; il faut donc continuer à travailler, à travailler, et encore
travailler, le résultat n’en sera alors que plus beau. N’oublions pas de s’encourager, car pour
chacun des joueurs, il peut y avoir un jour “sans”.